Le psychologue travaille sur votre passé, le coach vous ouvre à vos potentiels et travaille sur le présent, bien qu’il ait (normalement) une formation sur les bases de la psychologie, lui permettant de vous orienter, le cas échéant. Le coaching n’est, d’ailleurs, pas adapté aux maladies psys.

Le coach est aussi un enseignant, car il vous apporte de nouvelles connaissances et des outils. Il vous met en action, car sans action, aucun changement n’est envisageable. L’action de penser, l’action d’apprendre, l’action de croire, l’action de faire sont passées en revue. Le coach vous motive.

Et, dans motiver, il y a mouvement. C’est pourquoi le mouvement, l’action, sont indispensables à tout changement souhaité. 

C’est pourquoi, le coaching s’adresse à des personnes qui sont prêtes à investir et à s’investir pour Être. C’est un engagement envers vous-même et envers le coach qui prend du temps avant, pendant et après chaque séance pour vous accompagner au mieux.

Vous devez être prêt(e) à travailler comme un étudiant : apprendre, lire, écrire – et poser des actes. Car sachez que chaque habitude de votre vie (pensées, actes ou non-actes, réactions/non-réactions…) se sont construits par la répétition ; une habitude est, du point de vue physiologique, un chemin neuronal.

Or, il ne suffit pas de savoir quelque chose pour que cela change quoi que ce soit. c’est la répétition (la persévérance) et le mouvement qui ancrera les nouveaux chemins neuronaux.

Celui qui vous vend le grand changement en un temps record est tout bonnement un vendeur de rêves.

Il arrive parfois que vous pensiez avoir tel problème ou tel objectif. Et finalement, le travail met en évidence d’autres priorités ou la nécessité de prendre un virage à 90°, que jusqu’ici vous n’osiez pas prendre.